Dans les années 1960, les termes « rock » et « progrès » commencent à être associés pour désigner des albums des Beatles, des Beach Boys ou de Jimmy Hendrix. Les chroniqueurs s’enthousiasment de l’usage que font ces musiciens des nouvelles technologies, leur emploi d’instruments extérieurs à la tradition du rock, leurs compositions ambitieuses et leur capacité à fusionner des genres musicaux. La conférence s’attarde sur ce mouvement musical, ses enjeux et les réactions extrêmes qu’il suscita rapidement.
Intervenant Christophe Pirenne, professeur et président du département Politique de la culture – Production culturelle de l’Université de Liège.