« Si l’Amour porte des ailes, N’est-ce pas pour voltiger ? » Robert Sandoz, qui n’aime rien de mieux que les mots, adapte ici le film culte de Jean Renoir, fantaisie dramatique sortie en 1939, où l’amour fait des étincelles et éclaire les failles d’une bourgeoisie prisonnière de ses propres règles, au point de s’y perdre. C’est le jeu social qui est désigné, le jeu même de la représentation, et comme tout est jeu et spectacle, alors la tricherie surgit.