Claude Tabarini, sorte de touriste curieux dans sa propre ville ou ailleurs, écrit au jour le jour des observations qui sont comme autant de petites vignettes à déguster. Des moments fugaces, des fragments de réel posés sur la page pour qu’ils continuent à exister. Que ce soit par de brèves notations, des poèmes, des haïkus ou des textes plus long – sortes de chroniques –, Tabarini n’a de cesse de révéler les morceaux de poésie qui traversent l’ordinaire.