Durant deux jours, Giulia Angrisani anime un laboratoire explorant le storytelling comme outil critique et spéculatif pour penser des futurs possibles et peut-être enviables. En s’éloignant des récits dominants, il s’agit d’envisager la narration comme un acte de résistance, de décolonisation et de transformation, capable de relier passé et futur, et de réveiller l’imaginaire.
Une conférence publique, en libre accès, est donnée le 20 mars à 18h par Giulia Angrisani à destination des personnes n’ayant pas pu suivre l’atelier (ou souhaitant prolonger l’expérience).
Dans le cadre d’une collaboration MAH x least - laboratoire écologie art pour une société en transition