Durant deux jours, Olivier Hamant interroge, à partir d’une réflexion sur la mesure et l’évaluation, la manière dont nos outils quantitatifs peinent à saisir la complexité des processus artistiques et collectifs. En s’inspirant du vivant, cet atelier se propose d’imaginer d’autres façons d’évaluer : plus lentes, plus souples, plus fidèles aux dynamiques relationnelles et aux transformations invisibles.
Une conférence publique, en libre accès, est donnée le 12 mai à 18h par Olivier Hamant à destination des personnes n’ayant pas pu suivre l’atelier (ou souhaitant prolonger l’expérience).
Dans le cadre d’une collaboration MAH x least - laboratoire écologie art pour une société en transition