Après avoir électrisé le Pavillon (et de nombreuses scènes en Europe) avec son solo g r oo v e, Soa Ratsifandrihana et trois partenaires viennent raconter la colonisation, l’immigration, le manque. C’est Fampitaha, fampita, fampitàna – comparaison, transmission rivalité en malgache.
Sur scène, la complicité et la liberté du groupe explose : Joël Rabesolo pilote le voyage sonore, les performeureuses Audrey Merilus et Stanley Ollivier composent avec Soa Ratsifandrihana un langage physique puissant, expressif, ludique. La pièce explose du plaisir de conter, de chanter, de danser.