S’il est un auteur qui offre le plaisir du texte tout entier, qui en partage la liberté sauvage jusqu’à l’extase, le voici. En s’emparant du mythe d’Orphée, Valère Novarina lui donne une langue puissante dont se saisit avec virtuosité Jean Bellorini, réunissant sur un même plateau comédien.ne.s, chanteur.se.s et musicien.ne.s. Le groupe erre en Enfers métaphoriques, mais à son contact la nuit devient nourricière et une petite lumière capable de tout réveiller pulse au loin, pulse, pulse...