D’après Les Frères Karamazov de Fedor Dostoïevski
Une fresque brillante, drôle, désespérée, et jouissive : Sylvain Creuzevault taille dans ce monument de la littérature mondiale, Les Frères Karamazov, dernier roman de Dostoïevski, pour en extraire avec jubilation les thèmes existentiels – la culpabilité, le mal, Dieu et l’athéisme, la révolution sociale – sur un ton qui emprunte à l’humour farcesque. Il exhume l’esprit théâtral de cette histoire de famille dont Jean Genet disait qu’elle était «une farce, une bouffonnerie à la fois énorme et mesquine».
Un spectacle qui dit les bruits du monde mais surtout la joie pure et ludique et généreuse du théâtre.