Dans les années 2000, des jeunes femmes travaillant chez Securitas se voient proposer une rallonge de 6 francs sur leur salaire horaire, pour effectuer “une mission un peu spéciale” : infiltrer les milieux activistes de Suisse Romande.
Pour 28 francs de l’heure et parfois durant plusieurs années, ces femmes se créent alors des rôles de composition et font mine de militer.
Une performance secrète s’est alors infiltrée dans une situation réelle.
15 ans plus tard, ce spectacle ramène cette affaire dans le lieu qui aurait peut-être dû, dès le début, rester le sien : le théâtre. Une Bonne Histoire propose une contre-mise en scène, portée par deux comédiennes. Des vraies, cette fois.