L’épaisseur du corps, loin de rivaliser avec celle du monde, est au contraire le seul moyen que j’ai d’aller au cœur des choses, en me faisant monde et en les faisant chair.
Maurice Merleau-Ponty
D’après la figure mythique, polysémique et polymorphe de la LOUVE dans la mythologie romaine, un corps unique danse, concentration de l’humain-animal, du féminin-masculin, du divin profane, du minéral-végétal.
Dans une animalité exacerbée, force cosmique et acuité sensorielle une figure anachronique s’incarne tendue entre le monde antique et le monde futur.
En créant de nouveaux mythèmes au présent pour un futur, en creusant de nouveaux puits de contes et légendes pour de futures fondations pour de futures érections de membres et de monuments.
La sueur d’un diamant brut
Délivre
Une ode crue à la toute puissance du vivant