Il a été nommé ainsi en hommage à la baronne Karen Blixen, plus connue sous son pseudonyme d’écrivain Isak Dinesen. Karen Blixen a promis son âme au diable et en retour le diable lui a promis que tout ce qu’elle vivrait et expérimenterait à partir de ce moment-là deviendrait une histoire.
Dans cette création, premier volet d’une Trilogie des Funérailles, l’artiste, performeuse, actrice et autrice Angélica Liddell explore le pouvoir de la vengeance et des rituels. Le long d’un spectacle-fleuve qui mêle regard rétrospectif sur son œuvre passée et interrogation sur ce qui motive son geste de création, elle trace un itinéraire fatal vers ses propres funérailles.