« Comment, coquine, si je suis malade ? Si je suis malade, impudente ? » Voici un malade imaginaire comme nous ne le connaissions pas, un malade à la souffrance non diagnostiquée et en souffrance quand bien même ce ne serait que de ses angoisses. Voici un texte à la lecture entièrement renouvelée par Jean Liermier, où le malade est ce fou que je croyais être moi, à moins que ce ne soit le contraire, c’est-à-dire où le malade est enfin drôlement pris au sérieux.