Ce sont des contes-armes qui garantissent la survie de leur narrateur, dans un duel entre l’imagination et un cœur pétrifié. Ce sont des contes-lamentations qui célèbrent les absents, dans un duel entre la vie et la mort, la prison et la liberté, le vice et la vertu, la réalité et le désir.
Pour cette nouvelle pièce créée cet été au Festival d’Avignon, la chorégraphe capverdienne Marlene Monteiro Freitas déploie son art singulier qui exacerbe l’expressivité des corps et des visages et tresse les écritures chorégraphique et musicale, en s’emparant des Mille et Une Nuits.