La pièce prend racine de l'histoire personnelle de la mère de l'auteur, déportée un matin au camp d'Auschwitz. Miraculeusement rescapée des camps de l'horreur, elle laisse trois pages mauscrites de ce traumatisme, à partir desquelles son fils tissera une pièce pour le théâtre.
Près de 20 ans après la mort de George Tabori, un trio de comédiens et une musicienne, sous la direction d'Eric Salama, reprennent ce récit, qui nous renvoie aux heures les plus sombres de notre Histoire.