17h - Salle de jeu - 0 à 107 ans
*Système flûte*
Méditation estonienne
Classe de flûte du Conservatoire populaire
Joseph Bodin de Boismortier, Trio Sonate I : Gravement (1725), Trio Sonate II : Gigue (1725)
Arvo Pärt, Estländler (2006) pour flûte, Pari Intervallo (1976) pour quatuor de flûtes
Roxanna Panufnik, The Conversation of Prayer (2009)
Création collective, Création à partir d’une partition graphique inspirée de méditation estonienne (2023)
Un concert en nuances douces, pensé autour d’une œuvre du compositeur minimaliste estonien Arvo Pärt. Les harmonies simples se transforment sans cesse et nous emportent, dans un esprit méditatif. Sa musique encadre une sonate baroque, un solo d’une compositrice britannique et une étonnante composition graphique d’Earle Brown, qui utilise la spatialité de la page et qui laisse une grande liberté d’interprétation.
Un événement pour toute la famille
Gratuit
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19h - Salle des pas perdus
*Scintillements tout autour*
Sarah Hennies
Fleas (2017) pour vibraphone et de multiples clochettes jouées par le public
Voyage vibraphonique et aboutissement de plus de dix ans de travail avec l'instrument, Fleas explore les coins et recoins acoustiques du son initialement peu complexe de l'instrument. Le vibraphone est rejoint par un chœur de petites cloches récupérées, jouées par le public, produisant de riches résonances, des harmonies scintillantes et des ondulations douces.
Gratuit
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20h - Grande salle
*True and etternal*
Ensemble Contrechamps et les Etudiant·x·es de la HEM
Anahita Abbasi, Faab IV / a femme fatale (revised version for Neuverband Ensemble) (2014/2016) pour flûte, clarinette, piano, violon, alto, violoncelles
Jessie Cox, Existence Lies in-Between (2017) pour flûte, clarinette basse, violon, alto, violoncelle, contrebasse, percussions
Galina Ustvolskaya, Symphonie n°2, True and Eternal Bliss ! (1979) pour voix et orchestre
Avec six flûtes, six hautbois, six trompettes, trombone, tuba, piano solo et récitant, l’œuvre centrale de ce concert - née de la main de Galina Ustvolskaya - fait trembler les murs : par grappes d’instruments, avec des rythmiques immuables et des dynamiques extrêmes, l’écriture conjugue puissance du geste et profonde poésie. En contrepoint, deux œuvres nous emmènent sur des chemins moins accidentés et, là où l’un explore les limites du son et du silence (Cox), l’autre s’intéresse à des combinaisons sonores tantôt riches et tantôt sèches, sur des rythmes saccadés.