Avant l’Histoire d’un Casse-Noisette il y a l’Histoire d’une noix dure à casser. Cette histoire va nous plonger dans un monde où il n’est pas facile d’être différent ou de mettre en jeu notre identité dans la diversité. Accepter son identité, la crise d’identité, avoir plusieurs identités, chercher sa propre identité, être perdu, se retrouver... Toutes ces démarches sont comme lorsqu’on mange une noix, il faut en briser la coque avant de trouver ce qu’on cherche. Cette histoire, c’est celle de Casse-Noisette, qui est-il et comment est-il devenu ce qu’il est. Il est donc plus que temps que le public genevois refasse connaissance avec le Casse-Noisette « dark, excitant comme un sabbat » (Alexandre Demidoff dans Le Temps) de Jeroen Verbruggen. Le chorégraphe belge à l’imaginaire féerique, festif et sans limite, avait réussi en 2014 le défi de faire bien plus que « encore un autre Casse-Noisette » avec sa danse exubérante, joyeuse, lyrique et tendre, sur le chef-d’œuvre musical de Tchaïkovski, créé en 1892 à Saint-Pétersbourg.
Chorégraphie : Jeroen Verbruggen
Scénographie et costumes : On Aura Tout Vu
Lumières : Benjamin Ormerod
Musique Piotr : Ilitch Tchaïkovski
Direction musicale : Yannis Pouspourikas
Ballet du Grand Théâtre de Genève
Orchestre de la Suisse Romande